Quand tu dis :
.Pour le vent, jusqu'à preuve du contraire actuellement ce qui compte c'est bien le vent fourni par la tour en temps réel (Vent fourni par des instruments étalonnés) et pas celui calculé par l'avion car prétendument non fiable d'ailleurs Boeing ne se mouille pas trop là dessus sa marge d'erreur étant confortable ou pour être un peu moins consensuel, le parapluie comme souvent est très large chez Boeing. Dans le cas d'un avion sans pilote qui déciderait seul de se poser hors limites quid de la responsabilité en cas de pépin?
Dans le mille.
Le vent passe par la TWR est une vaste blague sous certaines latitudes ; exemple Accra, le vent passe est celui du metar . Tu recevras le meme vent pendant 30 minutes, meme si la biroute indique l'inverse.. bon, c'est l'Afrique .
Absolument.Donc avant de voir des avions se poser tout seul en Afrique au milieu du FIT, il va se passer un certain temps.

sur le cisaillement de vent en finale :
On est bien d'accord : C'et la le frein des compagnies aeriennes,qui n'accepteront jamais cela.on peut tout automatiser avec des algorithmes mais il y a certains terrains où les avions ne vont plus beaucoup se poser...
Encore d'accord . Tous les experts facteurs humains te disent que l'on est arrives aux limites de la comprehension des systemes automatises par l'homme , et l'homme ne peut pas servir de back-up a l'automatisme. Seul un echange homme -machine motivant pourra marcher. les deux travaillant ensemble et se comprenant , laisssant chacun aux taches ou il est le plus performant. Ce n'est pas (encore) la philosophie Airbus malheureusement. quoique l'A350 est moins automatise a la sortie de ce qui etait prevu au depart. Le 787 a paradoxalement plus d'automatismes " limites" que le 350.Pour moi le vrai progrès à moyen terme résidera dans l'amélioration constante de l'interaction entre les automatismes et les pilotes, en prenant le meilleur parti des 2, les automatismes permettant de mieux encadrer le boulot des pilotes en fournissant des infos pertinentes en temps réel et d'éviter les erreurs propres à l'opérateur humain et les pilotes dans leur capacité à analyser une situation complexe et à prendre la moins mauvaise décision