Lazio a écrit :J'ai un gros doute sur ton "classée sans suite".
En effet ici à Tahiti plusieurs plaintes ont été déposées et il arrive parfois que l'armée fasse décoller le Dauphin ou le Gardian, de nuit, dans le but de faire l’appât, des patrouilles au sol étant réparties ici et là, au cas où le(s) mauvais plaisantin(s) chercherai(en)t à s'amuser.
Je pense que la BGTA prend cela très au sérieux, ne t'en déplaise.
Ben.... J'aimerais bien me tromper, pardi, imagine toi. J'ai simplement l'impression de prêcher auprès de moulins à vent... Je crois avoir été clair que j'étais aux premières loges et que j'aimerais bien que cette question soit traitée au plus vite.

. Mais simplement, ce genre de problème me donne l'impression d'être traité au coup par coup, sans continuité d'un endroit à l'autre (et entre PPT et RUN, combien de dizaines de milliers de km de distance? Combien d'instances administratives différentes?

). Je ne prouve rien bien sûr, mais c'est mon intuition après pas mal d'années dans le bizness, passées en des latitudes et longitudes variées et fort différentes.
En faisant un apparté, c'est exactement comme les règles liées aux procédures de sûreté dans notre pays: à chaque aéroport ses procédures en vigueur, décidées bien évidemment de façon unilatérale et sans la moindre concertation par le préfet du coin, pour qui "mieux vaut le claquement sec du parapluie qui s'ouvre que le choc mat de la carrière qui s'effondre" (désolé, je me répète sans doute mais pour nous tous professionnels de l'aérien il me semble évident que tout se répète à chaque instant et à chaque endroit... ). Et donc, d'un lieu à l'autre, combien de différences de traitement pour un problème analogue? Beaucoup, sans doute. Au risque de me répéter j'espère me tromper mais rien ne m'indique à ce jour que la situation à laquelle l'équipage dont je faisais partie et moi-même avons étés exposés sera traitée d'une manière autre que "politiquement correcte".
Et donc je radote, mais je ne me fais guère d'illusions.
