Je ne parle pas de réglementation : pas de séparation, info de trafic mais bien de votre attitude en cockpit, aussi bien en VFR qu'en IFR.
Si vous pouviez "éviter" la langue de bois...je pense que chacun pourrait y gagner, merci.

Faut pas prendre les canards sauvages pour des enfants du bon Dieu !waelher a écrit :Et puis, assigner des niveaux, des caps à un VFR, est-ce bien raisonnable ? Que se passe-t-il si le VFR entre en IMC, CFIT ? Pas sûr que les juges apprécient plus ces initatives.
Alors là, je plussoie pour que le contrôle résiste à cette dérive.waelher a écrit :La dérive suprême réside ensuite en un accès très réduit des VFR aux plateformes de taille moyenne, en refusant ledit VFR, ou en le faisant attendre tellement avant de rentrer en TDP qu'on ne l'y reprendra plus !
A mon humble avis, le B n'est pas envisageable partout. Dans des TMA peut-être, mais en CTR... Entre l'hélico qui décolle de l'hôpital, le VFR qui veut survoler le château-de-je-sais-pas-quoi, l'IFR qui déboule sur l'ILS et le voltigeur à la verticale, je me vois mal séparer tout le mondeLazio a écrit :(...)se pose la question de l'utilité de la classe D. Pourquoi ne pas tout passer le D en B ?
arogues a écrit :...le transit dans les TMA en classe C c'est très "confortable", et ce serait du B que ca m'irait aussi (en tant que VFR)
Enfin, il ne l'a peut être pas écrit, mais il l'a ditLe vieux Sage a écrit :C'est mieux... mais c'est plus cher!
Sans langue de bois, ce n'est pas nécessairement facile de te répondre sans avoir une connaissance complète de la situation.paulic a écrit :Tiens, un cas pratique :
Je travaillais (surveillance aérienne, VFR) l'autre jour dans la zone de Beauvais (classe D). Ma trajectoire devait couper les axes 30 à environ 2Nq du seuil, et j'évoluais à 500ft-sol.
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