Page 1 sur 1

Accident B25 Melun

Posté : mercredi 01 juin 2011 12:02
par caveokay

Re: Accident B25 Melun

Posté : mercredi 01 juin 2011 13:13
par MD11
LE pilote et son passager ont réussi à s’extraire de l’appareil
Ouaaa! Mono pilote!
Normalement il faut combien de membre d'équipage? 4?

Re: Accident B25 Melun

Posté : mercredi 01 juin 2011 23:16
par Efis
Pour ceux qui ne se promène pas trop ailleurs
Image
Image
Image
Image
Image
Image
Pas près de revoler...

Re: Accident B25 Melun

Posté : jeudi 02 juin 2011 15:05
par caledo
Quelle tristesse !

ferraillage ?

Re: Accident B25 Melun

Posté : samedi 04 juin 2011 10:55
par Spyro_1
Vu l'etat de certains warbirds avant restauration, et l'état de celui la après le crash ( assez abimé mais réparable...), j'espère qu'il va revoler....

Re: Accident B25 Melun

Posté : samedi 04 juin 2011 11:55
par ATCO51
La flak sévit encore en Seine-et-Marne ?

Re: Accident B25 Melun

Posté : dimanche 05 juin 2011 18:50
par Efis
Sources : http://www.leparisien.fr/seine-et-marne ... 476808.php
Ils ont réchappé au crash sans même une égratignure. Hier matin, Georges Peres et Bernard Vurpillot, les pilotes de l’avion B-25 Mitchell qui s’est écrasé mardi dans un champ à Moissy-Cramayel (Seine-et-marne), à côté de l’autoroute et des bureaux de la Snecma Villaroche, sont revenus sur les lieux du drame inspecter la carlingue de ce bombardier de la Seconde Guerre mondiale avec les gendarmes de l’air d’Orly.

« Nous avons décollé vers 17 heures de l’aérodrome de Melun-Villaroche, où le B-25 est basé, pour un vol de contrôle et d’entraînement. On venait de changer une hélice sur le moteur droit, confie Bernard Vurpillot, le commandant de bord, qui habite Fleury-en-Bière et a treize mille heures de vol à son actif. Vers 17h20, la tour de contrôle nous prévient qu’on a un feu au moteur droit. On volait à 200 km/h et à 500 m d’altitude environ. Nous avons tout de suite appliqué les procédures d’urgence : couper l’arrivée du carburant, mettre l’hélice en position où elle ne freine pas et atterrir le plus vite possible sur une surface dégagée. On perdait vite de l’altitude, on décélérait et on n’avait plus d’indicateur de vitesse. Alors nous avons choisi d’aller vers un champ à droite pour éviter de nous écraser en ville. »

« Je ne voulais pas visiter la Snecma comme ça, sans frapper à la porte! ironise Georges Peres, le pilote, neuf mille heures de vol au compteur. De toute façon, impossible de revenir à la piste : nous risquions de décrocher en changeant l’assiette de l’avion dans cette situation dégradée. » « On est passés au-dessus de l’autoroute, on a arraché des câbles EDF et on s’est posés dans un champ de colza, car on savait que ça amortissait bien un avion », poursuit Bernard Vurpillot. Le B-25 a glissé sur près de 120 m avant de s’arrêter. Les deux hommes sortiront de la carlingue indemnes.

« Nous n’avons pas eu peur, c’est allé trop vite, confient-ils. Nous avons déjà connu des pannes en vol, mais jamais de feu moteur. »

Hier, l’origine du feu restait inconnue. « Les ailes du B-25 seront démontées, puis un spécialiste du levage viendra voir comment on peut retirer l’appareil. Il retournera alors à l’aérodrome de Villaroche et ne volera probablement plus », précise Christian Amara, le propriétaire. Il met en garde les curieux de s’approcher du B-25 dans le champs « car les soutes sont encore pleines de carburant (NDLR : environ 800 l) et l’avion n’est pas sécurisé ». Pour l’anecdote, il rappelle que ce B-25 « a déjà atterri d’urgence dans un champ, dans les années 1990, après une panne d’essence ».

Re: Accident B25 Melun

Posté : jeudi 29 mars 2012 19:18
par cliquet
MD11 a écrit :
LE pilote et son passager ont réussi à s’extraire de l’appareil
Ouaaa! Mono pilote!
Normalement il faut combien de membre d'équipage? 4?
Au groupe Lorraine, doté de B 25 à la fin de la guerre, mon père m'a dit qu'ils étaient effectivement 4.
Pilote, bombardier-navigateur et 2 mitrailleurs

Re: Accident B25 Melun

Posté : lundi 23 avr. 2012 10:36
par Stéphanas
Donc mono-pilote effectivement...